Les bons de trésor négociables

Le minimum des BTN est de 100000 dh. Ces titres sont inscrits en comptes courants, ils n'ont donc pas de support en papier. Tout souscripteur doit nécessairement passer par une banque qui inscrit les bons achetés chez Maroclear.

Examen informatique

L'examen de l'informatique se déroulera le mardi 07 mai 2013 à 15h30.

Coopération FSJES Salé et CDG

Signature de coopération entre FSJES Salé et la Caisse de Dépôt de gestion, le jeudi dernier.

Ralentissement général du crédit bancaire

Les créances sur l'économie ont marqué, en glissement annuel, un ralentissement de 7,6% à 2,1% en mars 2013, sous l'effet de la décélération du crédit bancaire de 8,6% à 2,1%. C'est ce qu'a annoncé Bank Al-Maghrib dans sa note des indicateurs monétaires du mois de mars.

Liquidités : le besoin des banques s'intensifie

Pas de répit en vue pour le déficit de liquidité bancaire. Après s’être résorbé au cours du dernier trimestre 2012 sous l’effet de l’encaissement de 1,5 milliard de dollars de l’emprunt obligataire international et de la réduction de la réserve obligatoire à 4%, le besoin de liquidité continue son creusement au premier trimestre 2013 à plus de 65 milliards de DH.

mercredi 8 mai 2013

A propos de


Ce site est consacré au Master Spécialisé Management Bancaire et Finance Internationale de la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales de Salé.

Cette filière du master avait connu cette saison un changement d’intitulé puisque auparavant, la filière s’intitulait Risque et Management de la Banque.

mardi 7 mai 2013

NOUS CONTACTER !

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N'hésitez pas à nous contacter sur l'adresse mail

M4


  • Anglais bancaire et financier I : Mme. Kasmi
  • Communication en professionnelle I : Mme.Bouchkerte
  • Informatique : M.Nafil

M3


  • Probabilité avancée : M.El Kettani
  • Mathématiques financières : M.Hammes  

M2


  • Economie et organisation bancaire : M. Achibane
  • Economie du risque : M.Hammes

M1


  • Droit des affaires : M.Oukhlifa
  • Comptabilité approfondie et normes IFRS : Mme.Benthami

Coming soon

Les exposés seront disponibles bientôt.

Coming soon

L'emploi du temps du 2ème semestre sera disponible bientôt.

Les banques et la crise systémique



q Les banques et la crise systémique :
        Les banques sont concernées par le déclenchement d’une crise systémique soit comme agent déclencheur, agent de propagation ou victimes.

  Ø La banque origine de la crise systémique :
         Des prises de risque excessives par les banques peuvent conduire à une crise de liquidité puis à une récession économique ( comme le cas  de la crise des subprimes)

  Ø La banque canal de transmission de la crise systémique
       Les banques sont des intervenants majeurs dans les marchés de capitaux et dans les systèmes de règlements et par conséquent il sont des agents de propagation obligatoires d’une crise systémique.

    q Les canaux les plus rapides de transmission sont :
       Le marché interbancaire : insuffisance de liquidité, les banques refusent de se financer entre elles on assiste à un assèchement du marché.
    Le rationnement du crédit : la modification des conditions d'emprunt est un canal de transmission de la crise à l’économie réelle. Les banques durcissent leurs conditions d’octroi de crédit  parce que la chute brutale des cours boursiers ou immobilier détériore la qualité des garanties, sur lesquelles sont gagés les crédits. 

 Ø La banque victime de la crise systémique
q Toute crise systémique affecte les banques:
— Crise de liquidité
— Perturbation dans le système de règlement
— Augmentation d’entreprises en difficulté et faillite
q Faillite d’une banque de grande taille est un fait désastreux pour la stabilité économique :
    Défaillance en cascade d’autre banques et entreprises
    Retrait massif des dépôts bancaires
— Récession économique, chômage …
q Le coût économique et social d’une faillite bancaire rend nécessaire la surveillance du secteur bancaire

IAS 15 : L'information reflétant les effets des variations de prix


Cette norme a été publiée en novembre 1981 en remplacement de l'IAS 6, puis reformatée en 1994, et supprimée à compter du 1er janvier 2005.


La norme concerne uniquement les entreprises dont les produits, les bénéfices, l'actif ou le nombre de salariés sont importants.


Les informations à publier obligatoirement (puis publication facultative décidée en octobre 1989) sont les montants des redressements ou des montants redressés de l'effet des variations de prix :


  • Des amortissements ;
  • Du coût des ventes ;
  • Des capitaux empruntés ou propres ;
  • et l'effet d'ensemble sur les résultats;

Bons de Trésor Négociables


Le minimum des BTN est de 100000 dh. Ces titres sont inscrits en comptes courants, ils n'ont donc pas de support en papier.

Tout souscripteur doit nécessairement passer par une banque qui inscrit les bons achetés chez Maroclear.

La maturité des BTN émis par adjudication commence à partir de 3 mois. Les intérêts sont versés annuellement ou à la fin de l'échéance du titre.

Bourse des valeurs de Casablanca


La Bourse des valeurs est un marché réglementé sur lequel sont négociés des valeurs mobilières cotées. Créée en 1929 sous forme d’office de compensation, le statut et l’organisation de la Bourse ont connu plusieurs réformes structurantes. A ce titre, en 1995, il a été institué une société gestionnaire à laquelle a été concédée la gestion de la Bourse des valeurs, en application d'un cahier des charges approuvé par le ministre chargé des finances.
Cette dernière refonte du statut de la Bourse intervient dans une démarche globale de modernisation du marché financier, initiée en 1993, et qui fixait parmi ses objectifs de doter la Bourse d’une structure organisationnelle et de moyens modernes afin de renforcer son rôle dans le financement de l’économie.
L’actionnariat de la société gestionnaire de la Bourse des valeurs est composé exclusivement par les sociétés de Bourse qui détiennent à parts égales l’intégralité du capital social.
Les attributions de la société gestionnaire sont multiples, dont, principalement :

L’admission des titres en Bourse

La société gestionnaire encadre et gère le processus de première cotation des titres à la cote de la Bourse. A cet effet, elle centralise les demandes exprimées à l’occasion d’une introduction en Bourse et procède à l’allocation des titres conformément aux conditions d’attribution fixées par l’émetteur dans la note d’information. Elle prononce l’introduction en Bourse de l’émetteur et informe le public sur les résultats de l’opération.

La gestion des marchés de cotation

La société gestionnaire est responsable de la gestion technique et opérationnelle des marchés placés sous sa responsabilité. A ce titre, elle pilote les séances de Bourse et veille à ce que les ordres de Bourse transitant par ses systèmes soient exécutés de façon ordonnée, sécurisée et conforme aux règles de marché fixées dans son règlement général.

La garantie de bonne fin des opérations

La société gestionnaire gère le système de garantie de bonne fin des opérations enregistrées sur le marché central. A ce titre, elle offre aux intermédiaires en Bourse la garantie de dénouement des transactions sur les valeurs mobilières, même en cas de défaut d’une contrepartie. Afin de sécuriser les transactions, elle s’appuie sur un dispositif de gestion des risques qui prévoit des mécanismes de couverture des engagements pris par les sociétés de Bourse, lesquelles sont appelées à contribuer à un fonds de garantie constitué à cette fin.

L’information du marché

La société gestionnaire produit et publie une série d’indicateurs et de données de marché destinés aux opérateurs et au public. A titre d’exemple, elle calcule et diffuse quotidiennement les indices de référence qui reflètent l’évolution des prix sur le marché.
Source : cdvm.gov.ma

Liquidités : le besoin des banques s'intensifie



LES LEVÉES DU TRÉSOR AUSSI
BAM MAINTIENT SES INTERVENTIONS SUR LE MARCHÉ À UN NIVEAU ÉLEVÉ

Liquidités: Le besoin des banques s’intensifie
L'encours des bons du Trésor émis par adjudication s'est apprécié de 5,3% pour s'établir à 375,7 milliards de DH à fin mars 2013


Pas de répit en vue pour le déficit de liquidité bancaire. Après s’être résorbé au cours du dernier trimestre 2012 sous l’effet de l’encaissement de 1,5 milliard de dollars de l’emprunt obligataire international et de la réduction de la réserve obligatoire à 4%, le besoin de liquidité continue son creusement au premier trimestre 2013 à plus de 65 milliards de DH. «Les souscriptions bancaires aux adjudications des bons du Trésor et à l’encaissement de l’acompte de l’impôt sur les sociétés sont les principaux déclencheurs du déficit», fait savoir un professionnel. A cela s’ajoutent les avoirs extérieurs nets qui ont poursuivi leur baisse avec un taux de 11,8% après un repli de 14,8% en mars 2012.
Pour faire face, Bank Al-Maghrib maintient ses interventions régulières sur le marché monétaire via les avances à 7 jours sur appels d’offres, dont le volume moyen a atteint environ 50 milliards de DH contre près de 56 milliards au quatrième trimestre 2012. La Banque centrale est également intervenue à travers les opérations de pension livrée sur 3 mois, dont l’encours a atteint 19 milliards de DH (4 milliards sous forme de prêts garantis). Dans ce sillage, la moyenne trimestrielle du taux interbancaire moyen pondéré au jour le jour s’est inscrite en baisse de 10 points de base par rapport au trimestre précédent pour s’établir à 3,07%.
Dans ce contexte de rareté des ressources marqué par la baisse de 12,5% des titres d’OPCVM monétaires et le ralentissement des rythmes de progression de la monnaie fiduciaire à 3,8% et des dépôts à vue auprès des banques à 1,5%, le Trésor poursuit ses levées sur le marché des adjudications. Au terme du premier trimestre 2013, les levées brutes du Trésor se sont appréciées de 40,2% en un an pour atteindre un niveau record de 45,9 milliards de DH. Au niveau de la structure, ces levées ont été marquées par la poursuite du renforcement de la part des maturités à court terme qui bondissent de 63,4%. En revanche, la part des maturités à moyen et long terme a poursuivi son repli en passant respectivement à 32,1 et 4,6%.
Si les levées ont explosé, les remboursements, pour leur part, ont baissé de 2,6% à 26,9 milliards de DH. Compte tenu de ces évolutions, l'encours des bons du Trésor émis par adjudication s'est apprécié de 5,3% pour s'établir à 375,7 milliards de DH à fin mars 2013.
Source : leconomiste.com

lundi 6 mai 2013

Ralentissement général du crédit bancaire


Les créances sur l'économie ont marqué, en glissement annuel, un ralentissement de 7,6% à 2,1% en mars 2013, sous l'effet de la décélération du crédit bancaire de 8,6% à 2,1%. C'est ce qu'a annoncé Bank Al-Maghrib dans sa note des indicateurs monétaires du mois de mars.


Le ralentissement du crédit bancaire connaît une baisse de 2,1% pour l'industrie, de 5,6% pour le commerce et de 7,3% pour les activités financières, ainsi qu'une décélération de 9,9% à 2,8% pour les bâtiments et travaux publics et de 18,1% à 11,2% pour l'électricité, gaz et eau. C'est ce qu'a révélé la Banque centrale dans sa dernière note mensuelle.
Par secteur institutionnel, le rythme d'accroissement des concours alloués au secteur privé a décéléré de 6,3% à 3,6%, recouvrant un ralentissement des crédits accordés aux entreprises non financières privées de 6,3% à 0,7% et une accélération des prêts aux ménages de 6,7% à 8,1%.
Quant aux crédits accordés aux entreprises non financières publiques, ils ont baissé de 0,9%, précise la Banque centrale qui vient de publier ces statistiques sur son site électronique.
En ce qui concerne les créances des autres sociétés financières sur les agents non financiers, les prêts accordés par les sociétés de financement ont ralenti de 7,5% à 4,6%. Pour leur part, les crédits accordés par les banques offshores ont augmenté de 6,4% contre une baisse de 14,3% en mars 2012, en relation notamment avec la progression des crédits à l'équipement aux entreprises privées, qui ont quasiment doublé en 2013.
Décélération de l'agrégat monétaire M3
L'agrégat monétaire M3 s'est inscrit, de son côté, en décélération à 2,6% en mars 2013, contre 5,3% en mars 2012, pour s'établir à 968,2 milliards de dirhams (MMDH), selon Bank Al-Maghrib.
“Cette évolution est liée essentiellement à la baisse de 12,5% des titres d'OPCVM (Organisme de placement collectif en valeurs mobilières, ndlr) monétaires (...) et au ralentissement des rythmes de progression de la monnaie fiduciaire à 3,8% après 7,2% et des dépôts à vue auprès des banques à 1,5% contre 7,4%.”
EXTRAIT DE LA NOTE DE BANK AL-MAGHRIB
Les comptes à terme ont marqué, par contre, un accroissement de 3,2% après un repli de 4,7%.
Par secteur institutionnel, l'évolution de M3 s'explique par la baisse de 7,7% des actifs monétaires des entreprises non financières privées contre une hausse de 3,5%, en glissement annuel, et par le ralentissement de la progression des actifs détenus par les ménages à 4,9% au lieu de 6,4%.
La baisse de la masse monétaire s'est traduite par la contraction de 0,5% de la monnaie scripturale, de 0,8% des dépôts à terme auprès des banques et de 0,6% des titres d'OPCVM monétaires, précise la Banque centrale. Elle note, toutefois, une progression de 0,7% de la circulation fiduciaire et de 1% des comptes d'épargne.
Source : aufaitmaroc.com

Coopération entre FSJES Salé et CDG Capital


  • La FSJES Salé et le CDG Capital ont signé, jeudi 2 mai 2013, une coopération avec la présence de Monsieur le Doyen de la Faculté et M. Ahmed Cherkaoui, directeur du Pôle Prévoyance de la Caisse de Dépôt et de Gestion. 

Examen Informatique


Le professeur d'informatique M. Nafil a annoncé aux étudiants de la 1ère année du Master Management Bancaire et Finance Internationale que l'examen concernant la création d'un site relatif à la filière MBFI, par deux versions (HTML avec CSS, et SPIP) se déroulera mardi 7 mai 2013 à 15h30. 

lundi 29 avril 2013

Cours mathématique financière (MBFI)


Open publication - Free publishing                   Cliquez sur l'image pour l'agrandir.

dimanche 28 avril 2013

Emploi du temps S7 MBFI

L'emploi du temps du 1er semestre de la 1ère année du Master MBFI :


1ère version :

Master Management Bancaire et Finance Internationale
Salle 40
Lundi
Mar.monétaire et financier comparés
08h30 - 10h30
Mme. Cherkaoui


Mardi
Communication professionnelle 

08H30 - 12h00
Mme.Kasmi
Compta. Approfondie/IFRS
12h00 - 15h00
Mme. Benthami
Informatique 

15h30 - 17h30
M. Nafil
Mercredi
Macro-éco.
monétaire et fin.  
08h30 - 11h00
M. Akaaboune 
Analyse des données
11h00 - 13h00
M. Aouragh
Mathématique fin.

14h00 - 16h00
M. Hammes

Jeudi




Vendredi


Economie et organisation bancaire
15h00 - 17h00
M. Achibane
Samedi






2ème version :

Calendrier universitaire 2012-2013

Liens intéressants

- Le site de la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales de Salé :

- Un site qui s'intéresse aux normes IFRS :

- Le site du Ministère de l'Economie et des Finances

- Le site officiel de Bank Al Maghrib, ce site permet de télécharger les rapports des situations économiques  :

- Le site officiel de l'établissement de régulation des marchés de capitaux :

- Le site du Haut-Commissariat au Plan :

dimanche 21 avril 2013

Les Bons de Trésor Négociables

Le minimum des BTN est de 100000 dh. Ces titres sont inscrits en comptes courants, ils n'ont donc pas de support en papier.

Tout souscripteur doit nécessairement passer par une banque qui inscrit les bons achetés chez Maroclear.

La maturité des BTN émis par adjudication commence à partir de 3 mois. Les intérêts sont versés annuellement ou à la fin de l'échéance du titre.